L’nfidélité conjugale en Suisse
Qu’en est-il de la réalité ?
Difficile à cerner concernant ce sujet délicat, peut-être encore tabou, quoi qu’on en dise, et qui résiste encore à bien des analyses, si sérieuses et documentées soient-elles. Car l’adultère échappe aux statistiques formelles, puisqu’il est lié à un pacte secret.
On a beau prôner la liberté sexuelle, on n’en demeure pas moins hommes – et femmes – soumis à des traditions et des règles, car la fidélité dans un pays riche comme la Suisse reste une valeur fondamentale et le ciment d’une société solide …
Pourtant, des récits relatant des adultères suisses fleurissent et nourrissent abondamment la chronique depuis quelque temps déjà …
Des statistiques récentes tentent à prouver l’accroissement exponentiel de l’infidélité tant masculine que féminine chez la plupart de nos concitoyens suisses.
En 2003, un sondage réalisé par l’Hebdo avançait une proportion de 76% de Suisses infidèles à leur conjoint.
En 2005, 17% des couples suisses soumis à ce sondage déclaraient avoir eu une relation extra-conjugale hors-mariage.
Les nouvelles statistiques publiées depuis ces travaux montrent également une hausse du nombre d’hommes et de femmes Suisses qui déclarent avoir déjà succombé aux sirènes de l’infidélité.
Sachant que ce genre d’estimation peut difficilement être validée de façon scientifique, il semblerait que la réalité des chiffres généralement avancés se situe au-dessus des proportions avancées plus haut.
Autrement dit, il serait possible d’envisager l’hypothèse selon laquelle près d’une personne sur deux serait en fait concernée par l’infidélité …
Voilà qui nous ramène à une réalité bien moins angélique et fondamentalement plus terre à terre …
Alors, l’adultère serait-il en passe de devenir le nouvel ordre relationnel de cette toute nouvelle décennie ? Serait-il banalisé à ce point dans l’esprit de nos concitoyens, lassés du train-train quotidien et des schémas conjugaux dépassés ?
Pour beaucoup, le sexe et l’amour sont considérés comme deux entités indépendantes, à ne pas mélanger …
Et la prudence, alors ?
Garante d’un adultère bien pensé (et vécu), la prudence en Suisse, comme ailleurs, est de mise car la morale résiste aux incartades extra-conjugales et elle semble avoir encore son mot à dire.
Avouer son délit d’adultère n’a pas encore bonne presse sous les latitudes de cette région où la religion chrétienne tient encore le haut du pavé, la notion de « plaisir » reste un grand tabou. Et en Suisse, la une des journaux ne se délecte pas à l’envi des dernières frasques sexuelles adultérines de tel ou tel dirigeant. Cela n’empêche pas que des rumeurs parfois se glissent en catimini, au hasard d’une conversation privée, sans jamais exploser au grand jour …
La discrétion semble rester le mot d’ordre en la matière … C’est peut-être cette tendance au « puritanisme » qui explique le paradoxe suisse et l’émergence de sites Internet spécialisés en relations adultères constatée en Suisse depuis quelque temps.
En réalité, la pratique de l’adultère serait devenue bien plus courante qu’il n’y paraît, et les apparences demeurent trompeuses en ce qui la concerne.
Une chose est certaine, de plus en plus de femmes et d’hommes suisses sont en quête d’une relation discrète et forte hors mariage.
De nombreux témoignages l’attestent. Même si le mariage reste la pierre angulaire de la société suisse, l’adultère n’exclut pas l’attachement ancré et sincère à des valeurs familiales, de partage, d’amour et d’éducation indétrônables.
Sans vouloir faire de leur(s) liaison(s) adultère(s) des liaisons (forcément) dangereuses, nombre de couple mariés (ou pas) peuvent éprouver le besoin, à un moment où à un autre de leur vie à deux, d’expérimenter d’autres voies et de ne pas se soumettre à l’enfermement du couple qui leur pèse.
Qu’il s’agisse d’habitude ou d’ennui – ou des deux à la fois – qui finissent par donner à leurs relations de vagues relents de contraintes absurdes ou dangereuses, car elles égratignent peu à peu des relations basées sur l’amour et le partage …
Quand tout a été tenté et que la relation sexuelle est passée au second plan, risquant à long terme de briser une union sacrée qui se voulait indéfectible et basée sur une entente du corps et de l’esprit, certains d’entre eux finissent par penser qu’il est plus salvateur « d’aller voir ailleurs » et de préserver en parallèle sa conception du couple et de l’amour.
Eh non, la » crise de la quarantaine » n’est pas seulement réservée aux mâles éconduits ou en perte de vitesse, elle touche aussi la gente féminine et n’attend pas le nombre des années pour s’exprimer ! Elle peut être monnaie courante, à la faveur de nos vies stressantes où le désir finit par battre en retraite, faute d’être ravivé à la flamme de la nouveauté ou aiguisé par le désir légitime toujours présent (mais indicible) de séduire et de plaire …
Comment faire pour se libérer de ce poids pulsionnel emmagasiné depuis longtemps peut-être sans causer l’irréparable séparation qui sera synonyme de frustration, voire de dépression annoncée ?
S’adonner à l’adultère ?
Oui, peut-être, mais encore faut-il agir avec un minimum de discrétion pour ne pas risquer d’être découvert(e) et de perdre la confiance de sa tendre moitié !
D’où l’intérêt grandissant pour des sites tels que adulteres.ch qui assure à ses membres une porte dérobée ouverte sur de nouvelles expériences pour vous offrir des relations discrètes, dans le total respect de votre anonymat.
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